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Histoire de l'Amérique Sorcière

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Sujet: Histoire de l'Amérique Sorcière   Lun 23 Mai - 11:21
 

Histoire de l'Amerique Sorcière

Les Premiers Colons
Bien que les premiers colons européens qui mirent le pied sur le continent l'appelèrent "Le Nouveau Monde", les sorciers avaient entendu parler de l'Amérique bien avant les moldus. Depuis le Moyen-Âge, plusieurs modes de transports magiques - parmi lesquels le balai et l'Apparition, sans parler des visions et des prémonitions - avaient permis que mêmes les communautés sorcières les plus reculées aient des relations entre elles.
Les communautés magiques des indiens d'Amérique ainsi que celles d'Europe et d'Afrique étaient au courant de leurs existences respectives bien avant l'immigration de No-Majs Européen au XVII° siècle. Ils avaient déjà remarqué de multiples similarités entre leurs communautés. Certaines familles étaient clairement "magiques" mais la magie pouvait aussi apparaître de façon inattendue dans des familles qui n'avaient connues ni sorciers ni sorcières jusqu'ici. La proportion entre sorciers et moldus semblait être la même chez toutes les populations, de même que la réaction des No-Majs. Dans les communautés amérindiennes, les sorciers étaient acceptés voire même loués dans leur tribu. Ils devenaient généralement les guérisseurs et médecins attitrés ou de remarquables chasseurs. Cependant, d'autres étaient stigmatisés pour leurs croyances, souvent parce que l'on considérait que leurs pouvoirs étaient la manifestation d'un esprit malveillant en eux.
La légende indienne des "Change-peau" - un sorcier ou une sorcière ayant la capacité de se transformer en animal à volonté - avait en fait certains fondements. Une légende naquit sur les Animagus indiens, autour de rumeurs disant qu'ils sacrifiaient certains membres de leur famille proche afin d'accroître leur pouvoir de transformation. En réalité, la plupart des Animagus n'utilisaient leur pouvoir que pour fuir les persécutions ou chasser pour leur tribu. Mais ces bruits désobligeants émanaient souvent des guérisseurs No-Majs, lesquels simulaient même d'avoir des pouvoirs magiques par jalousie.
La communauté amérindienne était particulièrement douée en matière de magie des animaux et des plantes. Leurs potions notamment, étaient d'une sophistication qui surpassait de beaucoup celle des Européens.
La magie des baguettes, elle, est originaire d'Europe. En plus d'être plus précise et plus efficace, la magie par les baguettes était aussi l'apanage des plus grands sorciers et sorcières qui affichaient grâce à cet outils, leur capacité à pratiquer une meilleure magie. Sans compter que les charmes et les transformations sont très difficiles à pratiquer sans elles.

L'époque moderne

D'Europe vinrent autant de No-Maj que de sorciers, les deux catégories ayant de multiples raisons de quitter leurs pays. Certains étaient guidés par le goût de l'aventure, mais la majorité prenaient la fuite: ils fuyaient les persécutions des No-Maj voire celle des autorités sorcières elles-mêmes. Les vagues suivantes tentèrent de se fondre dans la masse croissante de No-Maj ou parmi les populations sorcières amérindiennes qui se montraient toujours bienveillantes et protectrices.
Depuis le début, néanmoins, il était évident que le Nouveau Monde serait un lieu plus hostile aux sorciers et aux sorcières que le Vieux Continent.
Tout d'abord, à l'instar de leurs compatriotes No-Maj, ils n'étaient arrivés qu'avec les quelques économies qu'ils avaient réussis à faire au pays. Chez eux, ils n'avaient qu'à rendre visite à leur Apothicaire local pour trouver les plantes nécessaires à la confection de leurs potions, ici, ils devaient improviser avec les plantes inconnues du pays. Il n'y avait pas de fabriquant de baguette, et l'Ilvermorny - qui devait un jour venir se classer parmi les plus grandes écoles de magie au monde - n'était encore à l'époque qu'une grossière cabane avec deux professeurs et deux étudiants.
Deuxièmement, les actions de leurs camarades No-Maj rendirent attrayantes les populations non-magiques. Sans compter les conflits entre les immigrants et les amérindiens - conflits qui mirent un coup à l'unité de la communauté magique - les croyances religieuses des No-maj les rendirent profondément intolérant envers toute forme de magie. Les Puritains étaient heureux de s'accuser mutuellement d'activités occultes, dans le Nouveau Monde, les sorciers et les sorcières avaient raison d'être méfiants les uns envers les autres.

Les Scourers

Voici le dernier - mais non le moindre - des problèmes rencontrés par les sorciers dans le Nouveau Monde: les Scourers. Comme la communauté magique était petite, éparpillée et secrète, elle n'avait pas d'institutions et de moyens de défense propres. Il y avait donc un vide qui ne fut rempli que par une bande de sorciers de toutes les nationalités qui se disaient mercenaires et n'étaient que très peu scrupuleux. Cette unité quasi militaire était crainte par le reste de la population de part leur violent engagement dans la traque des criminels notables mais aussi à cause du fait qu'ils chassaient n'importe qui pouvaient leur rapporter de l'or. Plus le temps passait, et plus les Scourers étaient corrompus. En jouant sur l'éloignement et la faiblesse des juridictions magiques de leur communauté magique, certains acquérirent un goût pour le despotisme et la cruauté, choses injustifiées par leur mission. Ils aimaient répandre le sang et pratiquer la torture. Les Scourers prolifèrent sur tout le territoire jusqu'au XVII° siècle et au bout d'un moment, ils ne rechignaient même plus à livrer des innocents - sorciers comme No-Majs - pour obtenir leur récompense. La plupart des Scourers célèbres échappèrent à la justice. Grâce à des mandats internationaux obtenus pour les arrestations effectuées, les Scourers s'évanouirent parmi les communauté No-Maj. Certains épousèrent des Non-Maj et fondirent une famille. Cependant, afin de conserver leur couverture, les Scourers ne gardaient que leurs enfants No-Maj et se séparaient des autres. Les plus vindicatifs des Scourers transmirent à leurs enfants la conviction que la magie était réelle et que les sorciers et les sorcières - où qu'ils se cachent - méritaient d'êtres exterminés. C'est l'historien Theophilus Abbot qui a identifié plusieurs familles de ce type. Le fait que certains se montrent moins crédules vis à vis de la magie et des activités sorcière a de grandes répercussions que la façon dont les autorités magiques gouvernent.

Salem

La fameux procès de Salem de 1692 a été une tragédie pour les populations magiques. Certains historiens s'accordent sur le fait que parmi les grands juges Puritains se trouvaient aussi au moins deux Scourers. Même si quelques innocentes furent injustement accusés et tués, la plupart des victimes étaient effectivement des sorcières. Au delà du traumatisme causés par le nombre incroyables de morts, Salem a aussi eut de grandes représailles sur la communauté magique. L'effet immédiat fut la fuite hors des Etats-Unis de beaucoup de sorciers et sorcières. Jusqu'au début du XX° siècle, la proportion de sorciers sur le continent Nord Américain a été inférieure à celle des autres continents. Les familles de sang-purs, qui avaient de nombreuses possibilités d'êtres informées des évènements, quittaient rarement leur pays pour l'Amérique. Par conséquent, cela implique aussi qu'il y a plus de né-moldus en Amérique qu'ailleurs. En fondant leur propre famille, les sorciers et sorcières américains se souciaient aussi beaucoup moins de la pureté de sang de leur partenaire, à la différence de l'Europe, où conserver son statut de sang-pur était primordial.
Mais sans doute que l'effet le plus important fut la création en 1693, de MACUSA. Connu de tous les sorciers et sorcières, ce fut la première fois que ces derniers se regroupaient pour créer leurs propres lois. La première tâche de MACUSA fut de traîner en justice les Scourers qui avaient participés au Procès de Salem, et par conséquent, trahi leurs confrères. Tout ceux accusés de meurtres, de tortures et autres cruautés sur des sorciers furent exécutés.

l'Affaire Dorcus
La catastrophe impliquait la fille du très reconnu Gardien du Trésor et des Dragots (les Dragots étant la monnaie sorcière américaine et par conséquent, le Gardien des Dragots étant un équivalent du Secrétaire du Trésor). Aristote Twelvetrees était un homme compétent, mais sa fille, Dorcus, était aussi superficielle qu'elle était belle. Elle avait été une élève médiocre à l'Ilvermorny et à l'époque où l'ascension de son père dans les plus hauts postes de l'administration, elle vivait chez lui mais pratiquait très peu la magie, préférant se concentrer sur sa garde-robe, sa coiffure et autres.
Un jour, lors d'un pique-nique local, Dorcus Twelvetrees se prit d'affection pour un beau Non-Maj du nom de Bartholomew Barebone. Ce qu'elle ignorait, c'était que Bartholomew était descendant de Scourer. Personne dans sa famille n'avait de magie, mais il croyait profondément en son existence et était certain que tous les sorciers et les sorcières étaient maléfiques.
Parfaitement inconsciente du danger, Dorcus prit l'intérêt poli de Bartholomew pour ses plaisanteries pour argent-comptant. Guidée par les questions du beau jeune homme, elle lui confia les adresses tenues secrètes de MACUSA et d'Ilvermorny. Bartholomew s’empressa de voler la baguette de la demoiselle et d’aller exposer toutes ces nouvelles découvertes à la presse. Mais MACUSA eut vent de tout cela et ils déménagèrent, le jeune homme fut emprisonné pour avoir attenté à la communauté magique des Etats-Unis et heureusement personne ne fut blessé. Quant à Dorcus, elle passa seulement un an en prison, mais fut frappée de disgrâce à sa sortie elle s'isola dans une communauté magique et y vécu recluse jusqu'à ne plus pouvoir le supporter: elle finit par mettre fin à ses jours.
Remarque : Une expression s’est développée à la suite de cette affaire. « Dorcus » est devenue une insulte pour qualifier quelqu’un d’idiot.
Loi de Rappaport
En 1790, la quinzième présidente de MACUSA (Magical Congress of United States of America), Emily Rappaport, institua une loi dans le but de créer une totale ségrégation entre les sorciers et la communauté Non-Maj à la suite de l’affaire Dorcus. Les sorciers et les No-Maj n'avaient plus le droit de se lier par des relations amicales ou matrimoniales. Leurs rapports quotidiens devaient se limiter au strict nécessaire. Des amendes étaient prévues pour les sorciers qui enfreindraient cette règle. S'en suivit l'un des plus grands schismes de la Loi Internationale pour le Secret pendant lequel il y eut un très fort boycott de MACUSA par la Confédération Internationale des Sorciers. L'affaire était d'autant plus sérieuse que la cause du schisme se trouvait au sein même de MACUSA. La Loi Rappaport était désormais la principale différence entre l'Amérique et le Vieux Continent. En Europe, les gouvernements magiques et No-Maj communiquaient et coopéraient alors qu'en Amérique, ils étaient totalement distincts. De plus, là-bas les sorciers et les No-Maj pouvaient être amis ou amants, alors que sur le Nouveau Monde, chacun considérait l'autre comme un ennemi. En clair, cette loi eut pour effet de marginaliser encore plus la communauté magique.

(Aucun contact ne doit être établi avec les Non-Maj, que ce soit de type amical ou amoureux ; les relations professionnelles sont autorisées dans le cadre de l’insertion des sorciers dans le pays)

Les années 1920

Les sorciers ont joué un grand rôle dans la Première Guerre mondiale. Mais cette participation étant inconnue des communautés No-Maj, leurs relations ne se sont pas améliorées et la loi Rappaport a été fermement maintenue. En 1920, les sorciers étaient déjà habitués à vivre dans le plus grand des secrets, bien plus que leurs homologues européens qui eux n'avaient pas à sélectionner leurs membres avec précaution.
Après la Grande Rébellion de 1892, le QG de MACUSA fut déplacé - pour la cinquième fois depuis sa création - de Washington à New York. Pendant la décennie suivant la Guerre, la présidente fut la célèbre et talentueuse sorcière originaire de Savannah, Madame Seraphina Picquery. En 10 ans, Ilvermorny se développa plus qu'elle ne l'avait fait en deux siècles et elle acquit la réputation d'être l'une des écoles les plus prestigieuse du monde ne matière d'éducation magique. En conséquence, ceci démocratisa l'usage de la baguette magique pour tous les sorciers et les sorcières. Toujours de part la méfiance ambiante, une loi décréta cependant que tous les membres de la communauté magique devaient porter sur eux un "Permis Baguette", mesure qui était censée réguler les activités magiques puisque leurs auteurs seraient désormais identifiables. A la différence de l'Angleterre, où Ollivanders était le seul,l'unique et l'indétrônable, l'Amérique comptait quatre grands fabricants de baguette (voir à ce sujet l'annexe sur les baguettes).
Contrairement au gouvernement moldu, le MACUSA autorisait les sorciers à consommer de l'alcool, leur condition d'existence étant "assez dures comme ça" pour la Présidente Picquery.
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